Chers visiteurs de passage et amis lecteurs, je vous salue !

Apocalypse 1 : 8
"Je suis l'alpha et l'Oméga, le commencement et la fin, dit le Seigneur, Celui QUI EST, et QUI ÉTAIT, et QUI SERA, le Tout-Puissant."

Alpha et Omega Première let dernière lettre de l’alphabet Grec. En réalité Jésus-Christ qui parlait le plus souvent en Araméen n’a jamais dit en Apocalypse 1 : 8, 21 : 6 et 22 :13 je suis l’Alpha et l’Oméga car il serait étonnant que Dieu dans son ciel de gloire parle dans la langue des idolâtres. En réalité le Christ a plus certainement dit à Jean, je suis l’Aleph et le Thaw, lettres qui ont une signification beaucoup plus riche. Aleph représente symboliquement (le premier, le maître et un taureau) et le Thaw représente symboliquement (une marque, un signe, une croix). Christ a donc dit : « je suis le premier et le dernier, mais aussi je suis le maître qui est mort sur la croix qui est le signe de votre délivrance ». C’est quand même beaucoup plus beau !


Que la grâce et la paix du Seigneur soient avec nous et avec nos esprits, dans le Nom de Jésus, amen !
Je me présente dans la rubrique : "Qui suis-je ?"
Je vous souhaite le meilleur pour aujourd'hui et demain. Que vous puissiez rencontrer Jésus et être sauvés est mon souhait pour vos vies. Que Dieu Vous Bénisse.

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En 2010, j'ai déposé chaque semaine des VERSETS à méditer que vous pouvez encore étudier les années suivantes aussi, car ce sont les enseignements de la parole vivante pour tous les jours !

Pour les années suivantes, je n'ai pas repris ces rubriques, car vous pouvez les retrouver dans le menu des archives pour vos besoins.

Je continuerai à éditer des messages d'édification, d'exhortation, sur l'occultisme, la fin des temps, etc.

Je vous bénis, à bientôt au fil des articles à suivre...
Votre dévouée en Christ, Flo.

samedi 5 octobre 2013

Walt Disney Démasqué

Article de "Cutting Edge Ministries"

Source : http://www.cuttingedge.org/news/n/1095.cfm

Depuis une bonne soixantaine d'années, les Productions Disney entretiennent avec soin une image donnant à penser qu'ils sont les pourvoyeurs providentiels de divertissements agréables et sains destinés à tous, de deux à cent deux ans ! Les équipes qui créent ces dessins animés ont un talent hors du commun et disposent aussi de moyens techniques extraordinaires. Les personnages qu'ils inventent sont séduisants au point d'exercer un véritable pouvoir hypnotique : l'image publique de Disney ne fait-elle pas l'objet d'un consensus presque universel ? Beaucoup de chrétiens ont subi au cours de leur enfance le charme de "Mickey", de "Blanche Neige", de "Bambi", ou de "Cendrillon" ; ils ne songent pas à remettre en cause ce qu'ils ont "toujours entendu dire" sur Disney.

Ils n'ont pas analysé avec soin le contenu de ces spectacles à la lumière de la Parole de Dieu.

Prenons garde, car constamment (et même par certains "conducteurs spirituels") l'ennemi de nos âmes nous répète de mille façons différentes : "Surtout, n'analysez rien ! Ne pensez pas ! La réflexion et la rigueur, c'est malsain ! Laissez-vous porter, bercer, charmer ! Gobez instantanément ce qu'on vous offre, puis dormez bien et faites de beaux rêves !" Il est donc indispensable de mettre à la disposition des parents chrétiens des informations comme celles qui suivent, en les invitant à prier et à réfléchir quant aux conséquences pratiques qu'il convient d'en tirer.

Dans le quotidien "Boston Herald" du 25 juin 1997, en page 25, on peut lire cet article de Don Feder, journaliste bien connu aux Etats-Unis :

"Vive la Convention Baptiste du Sud ! Cela fait longtemps que le groupe Walt Disney mène en bateau l'américain moyen, et il était grand temps de mettre les choses à la lumière. Lors de leur rencontre annuelle qui s'est tenue à Dallas la semaine dernière, les représentants de cette Convention ont voté (à une immense majorité) pour appeler les 40 613 assemblées des Baptistes du Sud à boycotter toutes les productions de Disney, y compris les parcs d'attractions, les magasins et les filiales, notamment le réseau de télévision ABC.

La dénomination protestante la plus nombreuse de notre pays ne veut plus de la politique pro-homosexuelle de Disney. En 1996, les organisateurs des "Journées pour Homosexuels et Lesbiennes" ont crée un logo qui faisait de Mickey et de Donald un couple de concubins. Disney n'y a vu aucun inconvénient. (Note de Cutting Edge : Imaginez un peu la réaction de parents chrétiens arrivant au parc d'attractions de Disneyworld avec leurs jeunes enfants pour y passer une journée depuis longtemps attendue, et s'apercevant soudain que ce jour-là, le Parc accueille les "Journées Homosexuelles et Lesbiennes". Et que penser de cette autre horreur : des personnages aussi innocents que Mickey et Donald, que les enfants acceptent et aiment depuis toujours, deviennent tout à coup sous leurs yeux les promoteurs de l'homosexualité !)

Disney fait aussi de la publicité dans des magazines homosexuels tels que "Out", et a soutenu financièrement en 1993, à l'échelle nationale, une œuvre en faveur des homosexuels et des lesbiennes. Le Président, Michael Eisner, siège au "Hollywood Supports", un groupe qui organise des brainstormings (voir Note 1) de "sensibilisation à la sodomie". (Note de Cutting Edge : Veuillez remarquer que ce sont là les termes employés par Don Feder lui-même et non par nous. Si un groupe organise des "sessions de sensibilisation" à quelque chose, cela signifie qu'à ses yeux la chose en question est très bonne, et que personne ne devrait refuser de s'y associer ; en tout cas, on ne devrait jamais voir d'inconvénient à ce que d'autres s'y associent.)

Disney ne pèche pas seulement en faisant de la publicité pour les "modes de vie alternatifs". Il produit des foules de films violents sur des sujets parfaitement vils. C'est en se dissimulant que les successeurs de Disney lancent sur le marché ces productions obscènes et violentes, par le moyen de filiales telles que "Miramax" et "Hollywood Pictures". Cela permet d'éviter que ces horreurs ne viennent ternir la réputation qu'a Disney d'être le pourvoyeur de spectacles "pour la famille". Il n'y a pas plus violent que "Pulp Fiction", l'une des productions de Miramax. Les 120 minutes de "The Color of the Night" ("Les couleurs de la nuit") sont absolument bourrées de nudisme grossier. Au cours du festival cinématographique "Sundance" de cette année, Miramax a versé deux millions de dollars pour obtenir le droit de distribuer "The House of Yes" (La maison du "Oui"), une comédie "charmante" au sujet d'un inceste entre un frère et sa sœur. (Note de Cutting Edge : On voit donc que la puissance financière de Disney et ses compétences en matière de marketing sont à l'origine des films les plus immoraux qui soient, contribuant ainsi à conditionner d'innombrables personnes pour qu'elles acceptent l'idée que "tous les comportements sans exception sont parfaitement valables". Quoi de plus vil que l'inceste ? Disney n'en fait pas moins la promotion auprès de tout Américain suffisamment naïf pour se laisser faire. Pourquoi ne crions-nous pas au scandale devant un film qui met en scène l'inceste ? Ne sommes-nous pas scandalisés lorsque nous apprenons qu'un inceste a réellement eu lieu ? Vous êtes-vous jamais demandé si l'auteur d'un tel inceste ne s'était pas inspiré d'un film tel que "The House of Yes" ?)

Disney s'acharne sur la religion traditionnelle . En 1995, le film britannique "Priest" (Le Prêtre), distribué par Miramax, donnait de l'Eglise catholique romaine l'image d'un asile de fous. Il mettait en scène cinq prêtres détraqués. L'un d'eux avait une maîtresse, un autre était un malade mental. Les problèmes de chacun étaient attribués à ce que Hollywood appelle "la cruauté du dogme catholique". (Note de Cutting Edge : Depuis la deuxième guerre mondiale, Hollywood s'attaque en fait à toute la chrétienté. L'église catholique est souvent visée. En un sens, c'est étonnant, puisque le Vatican est appelé à jouer un rôle de premier plan dans la religion du Nouvel Ordre Mondial ! N'oublions cependant pas que pour l'américain moyen, tout ce qui salit le catholicisme rejaillit aussi sur toutes les formes du christianisme. En général, le public ne voit pas la moindre différence entre le catholicisme et un protestantisme fondé sur la Bible. Il ne voit pas qu'un gouffre nous sépare les uns des autres, et il met tout le monde dans le même sac.)

Le jour où une équipe de Miramax a débarqué dans un quartier de Brooklyn, chez les juifs hassidiques, (voir Note 2) pour y tourner des séquences du film "Below the Price of Rubies" ("Moins précieuse que des rubis"), les habitants, courroucés, l'ont obligée à déguerpir. Bravo, les hassidim ! Ce film met en scène une juive qui abandonne son mari, un hassid, pour partir avec un incroyant. (Lequel est le plus crétin des deux? Je vous le donne en mille… Disney concédera peut-être qu'on pourrait, à la rigueur, y voir une atteinte à l'égalité raciale !)

Cet automne, le réseau de télévision ABC (filiale du groupe Disney) va publier une série télévisée, "Nothing Sacred" ("Rien n'est sacré").Ce titre résume bien l'attitude du groupe Disney envers la foi. Cette comédie met en scène le Père Ray, un prêtre irrévérencieux qui (si l'on en croit le magazine "Spectacles de la Semaine") "doute de Dieu et a le cœur plein de concupiscence". Une publicité de ABC déclare à son sujet : "Dur, dur, d'être prêtre de nos jours. Si vous ne le croyez pas, vous n'avez qu'à demander au Père Ray (Kevin Anderson). En une seule matinée, il a failli se faire révoquer pour avoir conseillé à une adolescente enceinte de suivre ses instincts personnels". Peut-on mieux se moquer de Rome qu'en mettant en scène un prêtre libidineux et agnostique, qui pense que l'avortement relève de la conscience individuelle ?

Voilà plus d'un demi-siècle que Disney occupe une place importante dans les cœurs et les familles de notre pays. Le message que ce groupe fait passer aux parents, c'est le suivant : "Vous pouvez nous faire confiance : nous fournissons à vos enfants des distractions saines." En réalité, Disney répand sur le devant de la scène (et aussi en coulisse) une pollution qui nuit gravement au climat social, une pollution qui détruit la génération montante. Que leur boycott soit efficace ou non, les Baptistes du Sud ont posé un acte important. Ils ont démasqué la corruption qui se cache derrière la bonne bouille de Mickey."

Nous félicitons Don Feder de ce qu'il se montre intègre au point d'écrire un article aussi courageux sur Walt Disney aujourd'hui. Bien sûr, les héritiers de l'Empire Disney ont réussi à faire entrer leurs productions dans des sphères que Walt Disney ne pouvait même pas concevoir dans ses rêves ! Cependant, cet article de Don Feder ne fait pas ressortir les dangers qui guettaient déjà les jeunes spectateurs des dessins animés de Disney dès l'époque de la deuxième Guerre Mondiale.

Le saviez-vous ? Beaucoup de dessins animés de Disney montrent des actes de sorcellerie, qu'autrement les enfants ne verraient jamais, tout au moins tant qu'ils sont petits. Le jour où Walt Disney a habillé Mickey d'un costume de sorcier et lui a glissé une baguette magique dans la main, les enfants ont été entraînés dans une toute autre direction, ils ont été dévoyés ! Mickey fait un geste de la main, et hop, il fait apparaître un objet par enchantement : c'est de la sorcellerie. Mickey fait voler des objets à travers les airs : c'est de la lévitation, c'est de la sorcellerie.

L'exemple le plus flagrant dans ce domaine, c'est vraisemblablement le film de Disney intitulé : "L'apprentie Sorcière" (en anglais, "Bedknobs and Broomsticks"), avec ce refrain dans lequel une voix féminine chante :"Gloire aux sortilèges…" L'actrice principale est Angela Lansbury, qui joue le rôle d'une célibataire habitant en Angleterre pendant la deuxième Guerre Mondiale. Le jour où le gouvernement de son pays lui demande d'héberger trois jeunes londoniens qu'il fallait éloigner des bombardements de la capitale, elle était déjà une "apprentie sorcière" avide d'enrichir ses connaissances dans le domaine de son "art". En visionnant ce film, je n'en revenais pas de voir toutes les différentes formes de sorcellerie qui sont présentées avec un luxe de détails. Cela va de la lévitation aux incantations pour changer les personnes en bêtes ou les objets en êtres animés, en passant par un sortilège émanant d'Ashtareth, déesse cananéenne de la fertilité, de l'amour et de la guerre, fille du dieu El et de la déesse Ishtar. Disney présente ainsi sous un jour flatteur cette déesse cananéenne dont le culte attira sur Israël les châtiments divins les plus sévères, tant ce culte idolâtre suscitait la colère du Seigneur ! Bravo, Disney, vous incitez donc nos enfants à admirer Ashtareth, cette déesse de l'antiquité qui a valu à toute la nation d'Israël de recevoir de la main de Dieu des châtiments physiques !

La plupart des dessins animés de Disney, y compris ceux qui mettent en scène des contes de fées classiques, contiennent assez de sorcellerie pour polluer et détruire les pensées de nos enfants bien-aimés ! Si vous ne me croyez pas, louez donc quelques cassettes vidéo. Notez le nombre de fois où l'on jette des sorts, où les objets se mettent à voler dans les airs, où l'on invoque des "puissances spéciales" pour venir à bout de quelque difficulté. Il semble, au fil des ans, que la créativité et l'audace de Disney aillent croissant. Dans la bande-annonce du dessin animé "Hercule", par exemple, il y a beaucoup d'exemples de pratiques de sorcellerie, que ce soit du côté des "bons" (qui se servent de magie blanche) ou des "méchants" (qui utilisent la magie noire.) Disney bâtit presque toutes ses histoires sur l'opposition entre la "bonne" magie blanche et la magie noire. Les spectateurs se figurent que la situation est identique à celle des westerns où "les bons" (coiffés de chapeaux blancs) combattent "les méchants"(aux couvre-chefs noirs). Toutefois, dans les westerns, on n'a jamais vu les "bons" recourir à la sorcellerie pour remporter des victoires.

Parents chrétiens, je vous engage à louer quelques-unes de ces cassettes vidéo et à les analyser dans cette perspective. Vous serez scandalisés en voyant à quel point on abreuve de sorcellerie les esprits de nos petits enfants ! Si les créations de Disney étaient aussi anodines que certains le croient, Walt Disney aurait-il le statut de "maître céleste" et "d'esprit-guide" auprès des occultistes militants ? (Pour plus de détails sur ce sujet, voir sur ce même site l'article A21, "Atlantide", p. 2, § 2)

Les films et les dessins animés de Disney ne conviennent pas aux jeunes enfants ! Ils ne conviennent pas non plus à des spectateurs chrétiens, quel que soit leur âge. Il s'agit d'un domaine où les chrétiens que nous sommes devons changer radicalement notre manière de penser. Les spectacles de Disney ne sont ni mignons, ni anodins, et ils ne conviennent absolument pas aux petits.

N'oubliez pas que le plan de mise en place du "Nouvel Ordre Mondial" déclare que le faux Christ ne peut pas se manifester tant qu'une "partie importante" de la population mondiale n'est pas préparée à l'accepter. Il est donc logique, n'est-ce pas, d'entreprendre le conditionnement en commençant par vos enfants. On est frappé de constater que ce pré-conditionnement a débuté vers 1948, à peu près au moment où Israël est redevenu une nation, et où tant d'autres prophéties sur les derniers temps ont commencé à se réaliser. Voilà une preuve de plus que la fin des temps est proche ; oui, elle est imminente !


Note 1 : Le "brainstorming", également appelé "remue-méninges" est une technique de recherche d'idées originales fondée sur un échange réciproque animé au sein d'un groupe ; chacun se livre à haute voix à la libre association d'idées. Le brainstorming sert surtout à susciter des idées pour la publicité.

Note 2 : Les Juifs hassidiques, ou "hassidim" (au singulier, on dit "un hassid") sont des groupes qui pratiquent avec ferveur la piété et les traditions juives, et qui manifestent souvent des tendances mystiques.

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1 Corinthiens 3 : 6

J'ai planté, Apollos a arrosé, mais Dieu a donné l'accroissement.

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