Bonjour mes amis, je vous salue !
Sur le calendrier de la bonne semence je relève les versets que le Saint-Esprit m'insuffle au quotidien.
Certains textes de ces deux premiers mois de l'année m'ont édifié plus particulièrement et je voulais vous les faire partager, à mon tour, afin de vous permettre d'en saisir le sens profond qui pourra être révélateur pour vos âmes.
Je sais que l'un ou l'une d'entre vous sera touché en lisant ces paroles de vérité.
Nous n'aimons pas toujours voir et entendre celle-ci car elle nous renvoie une image de nous-mêmes qui n'est pas toujours très reluisante.
Pourtant, une fois qu'on accepte de faire mourir notre égo et de gagner en humilité, on apprend tellement de la vérité !
On devient des individus libres à travers elle car le mensonge, même inconscient, est destructeur pour notre âme.
Il n'est pas facile de se regarder dans un miroir non pour s'admirer mais pour faire (ou laisser faire) volontairement une action critique de ce que son reflet projette ! Non ! Celui ou celle qui prétend le contraire est un menteur invétéré.
Mais ce sont dans les difficultés de ce genre que nous apprenons ce que nous sommes intrinsèquement et que nous pouvons, peu à peu, effacer les mauvaises lignes, redessiner les contours et mettre de la lumière dans nos vies. Nous ne le pouvons pas par notre propre volonté, juste parce qu'on le décide un jour, mais parce que nous avons été créés comme ça et que Dieu est celui qui met en nous le pouvoir, le devoir, le vouloir, et l'accomplissement de chacune de Ses Volontés, si nous le laissons agir pleinement en nous.
Je vous souhaite de trouver cette lampe à mettre à vos pieds, la Parole de Dieu est la mienne et si je tombe moins souvent qu'avant c'est parce que c'est à Sa Lumière que je suis éclairée et que je vois à présent, ce que j'ai passé tant d'années à vouloir cacher aux autres et à moi-même.
Quelle grâce que de ne plus avoir à cacher quoique ce soit car on sait que tout sera révélé un jour où l'autre et qu'il n'y aura aucun endroit pour se réfugier alors. Dans mon passé j'ai subi des choses abominables et j'ai laissé faire des choses atroces car je ne savais pas que j'avais une valeur aux yeux de Dieu. Je ne croyais pas que ma vie avait un sens.
Les vautours se sont jetés sur moi parce que je leur ai donné accès à ma vie à cause de mon désespoir et lorsqu'on ouvre la porte au mal, c'est la descente aux enfers assurée !
Je ne peux revenir en arrière et ce qui a été fait, l'a été. Mais j'ai appris en assumer les conséquences, à en payer le prix et à faire confiance à Dieu maintenant que je l'ai rencontré. Son pardon m'a délivrée et je sais d'où je viens et pourquoi c'est LUI que je veux suivre et personne d'autre !
C'est maintenant qu'il faut affronter nos peurs, nos démons et nos Goliaths, tant que Dieu nous permet de commettre encore toutes les erreurs de nos créatures imparfaites pour le faire. Tant que nous sommes véhiculés dans ce corps de chair et de sang soumis au péché, nous devons apprendre pourquoi et comment en sortir avec les outils que LUI nous donne et pas ceux que l'on va chiner soi-même dans la brocante de la vie où l'on trouve toute sorte de biens dit "précieux" dans la bouche de certains et qui ne sont que des leurres !
Cette enveloppe charnelle n'est qu'un vêtement que l'on porte plus ou moins bien.
Certains ont des tailles en trop et d'autres sont étriqués dans leurs habits cintrés à outrance. D'autres encore ont si belle allure dans leur beaux costumes qu'on les voit comme presque parfaits et ... Patatra ! On se fourvoie !
La perfection n'est pas de ce monde, elle n'est que Divine et non terrestre.
Nos efforts, nos expériences et toutes les lois du monde ne parviendront pas à nous rendre perfectibles, seule la grâce de Dieu offert en Jésus-Christ le peut !
Un jour, à Son retour, il faudra rendre compte de tout, et je veux pouvoir regarder mon Dieu en face ce jour là et lui dire :
"Merci Seigneur de m'avoir pardonné mes péchés et de m'avoir enseigné à faire de mon mieux chaque jour pour essayer de devenir la créature que tu avais initialement créée en moi avant le péché. J'espère que tu es satisfait de mon parcours, que le jugement qui est le mien tombe à présent et que je puisse rentrer dans Ta Joie et dans Ton repos, amen !"
Rappelez-vous de ces versets si essentiels à notre évolution et à notre perfectionnement dans les voies du Seigneur :
Bonne lecture !
Et bonne méditation, que cette nourriture remplisse vos esprits, venez manger le pain de vie et boire à la source d'eau vive de notre Seigneur, amen !
11 Janvier 2010
La grâce de Dieu qui apporte le salut est apparue à tous les hommes.
Tite 2. 11
La grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ.
Jean 1. 17
Ce qu'est la grâce de Dieu
Bien des personnes tâchent de se persuader que la grâce est le caractère d'un Dieu indulgent, complaisant, qui pardonnera tout, les yeux fermés. Pour d'autres, elle est une solution pour tous les cas désespérés : A la grâce de Dieu ! D'autres encore, et ils sont nombreux, s'imaginent que, pour gagner le paradis, ils doivent faire tous leurs efforts ; et puis, si leurs mérites sont encore insuffisants, la grâce de Dieu complétera ce qui manque.
La grâce de Dieu est tout autre chose. Ses contrefaçons donnent de Dieu une image fausse, en le supposant indifférent au bien et au mal, à l'état de perdition dans lequel tous les hommes se trouvent par nature.
Dieu est bien le Dieu miséricordieux, à la fois bon et puissant, prêt à venir en aide à sa créature, le Dieu d'amour qui veut le bien éternel des hommes. Mais il est tout autant le Dieu qui ne peut supporter le mal sans le punir, le Dieu qui ne tient pas le coupable pour innocent (Nombres 14. 18).
Dieu a voulu sauver l'homme pécheur, tout en donnant à ses péchés la punition qu'ils méritaient. Bien qu'innocent, Jésus est venu sur la terre pour se charger de nos péchés. Il en a subi le châtiment de la part de Dieu.
Dès lors, Dieu peut faire grâce à tous sans distinction, mais à la condition de reconnaître le besoin absolu de cette grâce et d'accepter le seul Sauveur qu'il a donné.18 Janvier 2010
Des cieux l'Éternel a considéré la terre, pour entendre le gémissement du prisonnier, et pour délier ceux qui étaient voués à la mort.
Psaume 102. 19, 20
L'Éternel est près de ceux qui ont le coeur brisé, et il sauve ceux qui ont l'esprit abattu.
Psaume 34. 18
Courriers de lecteurs détenus
“Je suis incarcérée depuis 2005. La prière, ici, c'est une source d'énergie ; ça nous donne de l'espérance, de l'espoir, une source, et la paix.”“Je suis en prison mais mes barreaux ne sont que de métal. Ma liberté, ma foi en Jésus notre Sauveur, rien ni personne ne pourra me les enlever. J'ai rencontré le vrai Christ grâce à l'aumônier de la prison. Avant, je croyais en Dieu, mais j'étais comme un enfant égaré sur le chemin et j'ai péché. Mais Jésus m'a éclairé et pardonné.”“Détenu, malheureux, oublié, … sauf de Dieu.”“J'étais prisonnier bien avant d'être en prison. J'étais sous l'emprise de la drogue, du sexe, de l'argent…”“C'est en prison que j'ai tenu pour la première fois une Bible. Et je remercie le Seigneur tous les jours de m'avoir exilé pour me parler et m'apprendre à le connaître.”Jésus est venu sur la terre “pour annoncer de bonnes nouvelles aux pauvres ; ... pour proclamer aux captifs la délivrance et aux aveugles le retour à la vue ; pour renvoyer libres ceux qui sont opprimés” (Luc 4. 18).
“Vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu” (1 Jean 5. 13).
“Le Fils de Dieu... m'a aimé et... s'est livré lui-même pour moi” (Galates 2. 20).
20 Janvier 2010
Dieu… veut que tous les hommes soient sauvés.
1 Timothée 2. 4
Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé.
Actes 16. 31
C'est maintenant le jour du salut.
2 Corinthiens 6. 2
Qu'y a-t-il après la mort ?
Un chef d'état était très préoccupé par l'au-delà. Il avait l'habitude d'interroger ses interlocuteurs, en plein milieu d'une conversation politique : “Dites-moi, d'après vous, où vivent les morts après la mort ?”. La question était embarrassante, les réponses variées. Mais aucun livre humain – même le plus savant€€ – ne peut jamais apporter la réponse à cette question.
La Bible, le Livre de Dieu, déclare : “Il est réservé aux hommes de mourir une fois – et après cela le jugement” (Hébreux 9. 27). Les incroyants devront un jour rendre compte de tous leurs actes ; ils auront alors ce qu'ils ont, au fond, souhaité : un lieu sans Dieu. Terrible perspective que celle du jugement loin de Dieu pour toute l'éternité (Luc 16. 19-31 ; Apocalypse 20. 11-15).
Mais la Bible ne parle pas que de condamnation. Dieu, qui jugera un jour les secrets des hommes (Romains 2. 16), fait aujourd'hui proclamer la bonne nouvelle du pardon des péchés et du salut par la foi en Jésus Christ. C'est lui qui a dit : “Celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m'a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement” (Jean 5. 24). Lorsque le croyant quitte la vie terrestre, Jésus lui donne cette certitude : “Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis” (Luc 23. 43).
Le lieu où nous vivrons après la mort pour y passer l'éternité dépend uniquement de notre réponse présente aux appels de l'amour de Dieu. La Bible mérite d'être lue : elle apporte la vie dans un monde de mort.
24 Janvier 2010
Que rendrai-je à l'Éternel pour tous les biens qu'il m'a faits ?
Psaume 116. 12
Célébrez l'Éternel ! car il est bon, car sa bonté demeure à toujours.
Psaume 118. 29
Soyons reconnaissants !
--€Qui t'a donc arrangé comme cela ? demande un voisin à un jeune enfant portant un pansement au visage.
--€Oh ! répond sa mère qui l'accompagne, il a trébuché et il est tombé la tête la première sur un râteau. Il s'en est fallu de peu qu'une des pointes ne lui crève un œil.
L'interlocuteur semble attendre une suite.
--€J'espère que ça lui servira de leçon, reprend la mère.
--€Mais est-ce vraiment tout ? demande le monsieur.
--€Mais que voulez-vous de plus ? interroge la maman à son tour.
--€Il manque la conclusion, déclare le voisin sérieusement, et, pointant son index vers le ciel, il ajoute : “Mon âme, bénis l'Éternel, et n'oublie aucun de ses bienfaits” (Psaume 103. 2).
Comme nous oublions facilement de remercier Dieu pour tout ce qu'il nous accorde, pour la vie qu'il donne et qu'il renouvelle, pour sa protection et ses délivrances parfois miraculeuses ! Dans l'évangile, sur les dix lépreux que Jésus avait guéris, un seul est revenu vers lui pour le remercier (Luc 17. 11-19). Et nous, croyants, pour qui Jésus est mort afin de nous donner la vie éternelle, pourrions-nous passer un seul jour sans le remercier et le louer pour cette délivrance ? A cela s'ajoutent tous les bienfaits matériels et spirituels reçus du Seigneur Jésus, toutes les réponses à nos prières, toutes les joies que nous éprouvons dans nos familles ou quand nous sommes réunis autour de lui… Oui, notre Dieu a bien droit à notre reconnaissance. Sachons la lui montrer, non seulement par nos actions de grâces, mais aussi par une façon de vivre qui lui plaise et lui fasse honneur.
06 Février 2010
Là où le péché abondait, la grâce a surabondé.
Romains 5. 20
La bonté de Dieu te pousse à la repentance.
Romains 2. 4
Un pardon immérité
Le procès d'un tueur en série s'achève. Les familles des victimes s'expriment, l'une après l'autre. Chacun passe à la barre et décrit la douleur et l'amertume qui l'habitent. L'accusé garde le silence, sans manifester la moindre émotion. Enfin, une dame âgée, mère d'une des victimes, s'avance et, regardant le meurtrier dans les yeux, prononce ces mots extraordinaires : “Je vous pardonne”.
A la surprise générale, l'accusé se détourne, éclate en sanglots, et pour la première fois dit sa honte, ses remords… Le pardon n'a pas effacé l'horreur des crimes ni changé la décision du tribunal, mais il a fait couler enfin des larmes de repentir.
Ce récit illustre la puissance de la grâce de Dieu. Depuis longtemps, il aurait pu perdre patience devant les actes d'égoïsme et de méchanceté dont nous, humains, remplissons la terre. Pourtant aujourd'hui encore, Dieu offre son pardon au coupable. Mais le pardon de Dieu diffère beaucoup de celui qui est évoqué plus haut.
Pourquoi ? Le pardon d'une victime n'ôte rien à la sentence méritée qui doit être subie. Dieu est juste, mais il nous a aimés au point de donner son Fils unique pour qu'il subisse la sanction à notre place. “Le châtiment qui nous donne la paix a été sur lui” (Ésaïe 53. 5). Si je crois que Jésus est mort pour moi, je suis gracié. Ne restons pas insensibles à cette immense bonté de Dieu qui nous pousse à la repentance. Confessons-lui nos fautes et la méchanceté de notre cœur, et acceptons le pardon qu'il nous offre.
15 Février 2010
Toi, arrête-toi maintenant, et je te ferai entendre la parole de Dieu.
1 Samuel 9. 27
Dieu parle une fois, et deux fois --€et l'on n'y prend pas garde€– …€pour détourner l'homme de ce qu'il fait.
Job 33. 14, 17
J'ai frôlé la mort
Il vient d'avoir un accident qui a entièrement détruit sa voiture. Étonné d'en être sorti vivant, il affiche maintenant l'indifférence et s'étourdit dans tous les plaisirs qui se présentent. Ses amis admirent sa faculté à se ressaisir sans se laisser abattre par ce qu'il vient de vivre. Lui-même en parle avec humour et désinvolture.
“J'ai frôlé la mort !” Voilà le seul commentaire qu'il fait de son accident.
Il pourrait pourtant s'interroger : “Cet accident est-il vraiment fortuit ? Si Dieu a permis que la mort m'épargne, n'est-ce pas une preuve de sa bonté et de sa patience qui me laissent encore la possibilité d'entrer en contact avec lui ?”
La mort, frôlée cette fois-ci, atteindra pourtant ce jeune homme un jour ou l'autre, sans qu'il puisse lui échapper.
Les circonstances de notre vie ne sont pas le fait d'un hasard aveugle. Elles sont des moyens dans la main de Dieu pour parler à notre conscience et à notre cœur. Prêtons l'oreille à ce que Dieu désire nous dire. Son but est de nous apprendre à le connaître et à le voir agir dans notre vie. Sommes-nous arrêtés par un accident, une maladie, un échec ? Dieu n'y est pas indifférent et il désire nous faire entendre sa voix.
Voulons-nous l'écouter pendant qu'il est encore temps ? “Aujourd'hui, si vous entendez sa voix, n'endurcissez pas votre cœur” (Psaume 95. 7, 8).
17 Février 2010
Alors la terre fut ébranlée, et trembla, et les fondements des montagnes furent secoués et furent ébranlés, parce que l'Éternel était irrité.
Psaume 18. 7
Et voici, le voile du Temple se déchira en deux, depuis le haut jusqu'en bas ; la terre trembla, les rochers se fendirent, les tombeaux s'ouvrirent. Beaucoup de corps des saints endormis ressuscitèrent.
Matthieu 27. 51, 52
Tremblement de terre
Un tremblement de terre est souvent dévastateur. Il frappe en quelques secondes, ne laissant aucune chance de fuir. Et même si l'on connaît bien les zones à risque, on ne peut pas prévoir l'imminence d'un séisme ni contrer vraiment ses effets.
Dans la Bible, Dieu utilise parfois les tremblements de terre comme jugement. Coré et ses adeptes furent engloutis par la terre qui s'ouvrit sous leurs pieds lorsqu'ils se révoltèrent contre Moïse (Nombres 16). Les tremblements de terre font aussi partie des terribles événements à venir décrits dans l'Apocalypse (6. 12 ; 8. 5 ; 11. 13...). Dieu nous montre ainsi qu'il sera impossible d'essayer d'échapper à sa colère le jour où sa patience aura pris fin.
Mais Dieu ne s'en sert pas seulement pour le jugement. Au moment même où son Fils mourut sur la croix après avoir expié nos péchés, la terre trembla, et Dieu fit sortir des tombeaux beaucoup de personnes qui avaient cru en lui, prouvant par là que la mort venait d'être vaincue. De même, il délivra Paul et Silas en ouvrant devant eux la porte de leur prison (Actes 16. 25-27).
Dieu est souverain, et s'il se manifeste aux hommes par de tels cataclysmes, c'est pour leur faire parvenir un message. Quand Dieu parle ainsi, ne restons pas indifférents à ses avertissements. Lorsqu'il nous rappelle la fragilité de notre existence, prenons le temps d'y réfléchir. Acceptons le salut qu'il nous offre aujourd'hui encore.
Pour nous, chrétiens, n'est-ce pas aussi l'occasion de venir en aide aux victimes et de rendre témoignage des compassions de Jésus ?
18 Février 2010
Pourquoi dépensez-vous l'argent pour ce qui n'est pas du pain, et votre labeur pour ce qui ne rassasie pas ? Écoutez-moi attentivement, et mangez ce qui est bon…Inclinez votre oreille et venez à moi ; écoutez, et votre âme vivra.
Ésaïe 55. 2, 3
Pour ceux qui ne peuvent plus suivre
Ce matin, c'est la fête au village. Officiels, invités, vétérans… tout le monde est venu. Arthur est venu aussi malgré son souffle un peu court, malgré son cœur qui ne veut plus marcher au pas. Seulement, à mi-parcours, il a dû sortir du cortège. Il a dit : “Ça va trop vite pour moi, je ne peux plus suivre”. Il s'est appuyé au mur et il est rentré seul alors que la fête continuait.
Dans la vie, il y a le cortège de ceux qui réussissent, de ceux qui sont en bonne santé, qui marchent la tête haute. Et il y a les autres, les faibles, les malades – physiquement ou moralement€--, les laissés-pour-compte. Quand le Seigneur Jésus parlait aux foules, il s'adressait à tous, les interpellait : “Qui a des oreilles pour entendre, qu'il entende” (Luc 8. 8). Mais qui l'a entendu ? Le plus souvent, ceux qui étaient sur le bord du chemin, laissés de côté, ignorés ou méprisés. Jésus est venu pour parler à ceux qui ne peuvent plus suivre. Écoutez quelques-unes de ses paroles :
“Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos” (Matthieu 11. 28).
“Ce ne sont pas les gens en bonne santé qui ont besoin d'un médecin, mais ceux qui se portent mal… Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs” (Matthieu 9. 12, 13).
“Venez à l'écart dans un lieu désert et reposez-vous un peu” (Marc 6. 31).
“Moi, je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie” (Jean 8. 12).
22 Février 2010
Demandez, et il vous sera donné ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et il vous sera ouvert.
Luc 11. 9
Il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu est, et qu'il récompense ceux qui le recherchent.
Hébreux 11. 6
Un Dieu exclu
A la pause café, un collègue m'interpelle : “Toi qui as fait des études, tu sais bien qu'il n'y a pas de preuves de l'existence de Dieu”. Étonné, pris de court, je réponds spontanément : “Oui, parce que la science ne peut rien conclure au sujet de l'existence de Dieu !”
Cette brève conversation m'a fait réfléchir. La science utilise des méthodes rigoureuses qui permettent de traquer l'erreur partout où elle pourrait se loger. Cette recherche de l'exactitude, travail long et ardu, lui donne une belle noblesse.
La science étudie les phénomènes observables, elle les classe, les analyse, en cherchant pour chacun une cause naturelle. Elle refuse d'accepter une cause qui ne serait pas observable, ou une loi non vérifiable. Il n'appartient donc pas à la science d'envisager l'action d'un Être supérieur qui échapperait à l'observation humaine, ou qui ne serait pas soumis aux lois de la nature.
Quand certains scientifiques osent conclure que Dieu n'existe pas, ils oublient que c'est ce qu'ils ont, en quelque sorte, inclus dans leurs hypothèses. La recherche scientifique ne prenant pas en compte la possibilité des interventions passées et présentes de Dieu, elle ne peut rien conclure sur son existence, pas plus que sur l'origine de tout ce qui existe. Mais elle doit reconnaître son ignorance de toute cause première.
Dieu seul sait, et il interpelle même celui qui ne le cherche pas, en disant clairement au début de son Livre : “Au commencement Dieu créa les cieux et la terre” (Genèse 1. 1). Recherchons Dieu avec soin là où il se révèle, c'est-à-dire dans la Bible et par Jésus Christ.
26 Février 2010
Quand mon père et ma mère m'auraient abandonné, l'Éternel me recueillera.
Psaume 27. 10
(Jésus dit à ses disciples : ) Ce n'est pas vous qui m'avez choisi ; mais c'est moi qui vous ai choisis et qui vous ai établis, pour que vous alliez et que vous portiez du fruit et que votre fruit demeure.
Jean 15. 16
Poursuivi par l'amour de Dieu
Youssef, un jeune Algérien en vacances en Suède, se sentait très seul, presque abandonné, quand il a été interpellé par un groupe musical de jeunes chrétiens. “Pour la première fois depuis que je me trouvais en Suède, raconte-t-il, des gens de l'endroit cherchaient à entrer en contact avec moi… J'ignorais presque tout de la foi qui les animait, mais j'étais enthousiasmé de ce qu'ils m'aient adressé la parole... Un rendez-vous a été fixé et ils m'ont invité pour un café. Ils ne fumaient pas, ne buvaient pas, n'allaient pas en boîte, mais ils parlaient d'un Dieu personnel et d'une relation personnelle avec Jésus Christ. Pour la première fois, je voyais une différence entre ceux qui ne croient pas et ceux qui croient sincèrement.”
A la fin de son séjour, ses nouveaux amis lui ont promis de venir le voir en Algérie, mais cela l'a effrayé, et il leur a donné une fausse adresse !
C'est alors que le Seigneur l'a comme poursuivi de son amour. Revenu en Suède en 1979 pour faire des études, il a rencontré Christopher, un chrétien pakistanais qui, après un repas amical, l'a invité à une étude biblique portant sur le plan de Dieu et le salut de l'homme. Au cours de cette rencontre, Youssef a demandé à recevoir Christ dans sa vie. Christopher était lié à un groupe de croyants qui cherchaient à faire connaître la Bible aux étudiants étrangers, pour que, une fois rentrés dans leur pays, ceux-ci témoignent de leur foi à leurs compatriotes. “En ce qui me concerne, cela s'est réalisé à cent pour cent”, atteste Youssef.
28 Février 2010
Qui sait ce qui est bon pour l'homme dans la vie, tous les jours de la vie de sa vanité, qu'il passe comme une ombre ?
Ecclésiste 6. 12
L'amour de Dieu pour nous : c'est que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui.
1 Jean 4. 9
Combler le vide. Comment ?
“Depuis toujours, j'ai su la fragilité de nos bonheurs sur la terre. J'ai senti très jeune le vide. J'aimais m'amuser, danser, aller au cinéma. Tout cela ne me laissait rien. Habitant Bruxelles, je faisais une escapade à Londres. Je m'amusais. Je rentrais. Et après ? J'allais à Paris. Je m'amusais. Je rentrais. Et après ? Il y avait toujours ce vide. Ce vide qui happait ma jeunesse.
J'ai tenté de combler ce vide. Très tôt, j'ai cherché en Dieu un amour durable et sans limite que la vie terrestre m'avait refusé. Plus loin que mes larmes, je me suis mise en quête du chemin qui me permettrait de rejoindre Jésus dans le royaume de l'amour. J'ai voulu un absolu. Cet absolu serait l'amour du Christ dans mon cœur, que je porterais à des milliers d'enfants laissés pour compte de par le monde...
A presque 100 ans, l'amour de Jésus fait encore battre mon cœur...
La mort me fait chanter dans mon cœur. Je la vois pareille au mouvement de l'enfant qui se jette dans les bras de son père. Je me prépare à vivre la rencontre filiale avec mon Seigneur. L'amour dans un face à face d'éternité. Enfin.”
Sœur Emmanuelle, Extraits de “Mille et un bonheurs”
Ressentez-vous aussi un vide dans votre vie ? Peut-être tentez-vous de le combler par le travail, la recherche de sensations fortes, du plaisir à tout prix, ou même par la drogue. Et tout cela sans succès. Venez à Jésus Christ qui non seulement vous aime, mais qui vous offre le pardon des péchés et la vie éternelle. Il donne un sens à la vie et comble ce vide existentiel.
Que Dieu bénisse vos vies, soyez renouvelés par Son Esprit et apprenez la valeur du pardon elle a un prix inestimable dans le Sang de Jésus versé pour nous nous sauver. Je vous souhaite le meilleur en Son Saint Nom, amen !
Votre dévouée en Christ, Flo.
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