Verset aléatoire :
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Chers visiteurs de ce blog, je vous salue !
Infos utiles catégories spécifiques du blog, archives à consulter...
En 2010, vous trouverez un espace pour vos PRIERES chaque mois, que vous pourrez utiliser toutes les années qui suivront, mois par mois, selon le moment où vous souhaiterez déposer vos prières.
En 2010, j'ai déposé chaque semaine des VERSETS à méditer que vous pouvez encore étudier les années suivantes aussi, car ce sont les enseignements de la parole vivante pour tous les jours !
Pour les années suivantes, je n'ai pas repris ces rubriques, car vous pouvez les retrouver dans le menu des archives pour vos besoins.
Je continuerai à éditer des messages d'édification, d'exhortation, sur l'occultisme, la fin des temps, etc.
Je vous bénis, à bientôt au fil des articles à suivre...
Votre dévouée en Christ, Flo.
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Votre dévouée en Christ, Flo.
samedi 27 octobre 2012
AIMER JESUS, HAÏR LES AUTRES…une contradiction ?
Tout être humain à peu près normalement
constitué est en quête d’amour. Cette quête est normale et légitime car il est
clair que l’on peut être en bonne santé, avoir toute la gloire et les biens du
monde, mais sans l’amour on aura beaucoup de mal à apprécier ces bénédictions
secondaires.
Et dans ce domaine, il est vrai que nous avons
tous été déçus un jour ou l’autre. Nous avons tous été confrontés aux
trahisons, aux propos blessants, à l’abandon, aux moqueries et aux
incompréhensions. Chacun sait ce que c’est que de se retrouver seul, comme
suspendu dans un immense vide, bien qu’étant entouré physiquement par des gens.
Face à ces nombreuses déceptions, l’être humain manifeste de l’amertume, de la
colère et du rejet, perpétuant ainsi la spirale infernale des déceptions et des
blessures réciproques.
Nous avons tous dit un jour « je
t’aime » à quelqu’un mais ce « je t’aime » était exprimé en
réaction à un ressenti souvent charnel. Cette expression a souvent été
galvaudée et dénuée de son sens tout comme l’expression « faire
l’amour » qui est utilisée à tort et à travers pour désigner le plus
souvent l’impudicité et le libertinage.
La vérité c’est que ni vous ni moi ne
savons aimer véritablement car nous avons été longuement affectés par le péché.
Or la Bible déclare que là où l’iniquité s’accroit, l’amour se refroidit
(Matthieu 24 :12).
Tant que nous avons vécu dans nos péchés, nous
n’avons pas aimé véritablement, du moins nous n’avons pas su aimer comme il le
fallait. Prenons un exemple, il nous arrivait de mentir ou de cacher la vérité
en espérant éviter de faire de la peine à un proche. Mais à présent nous
savons que le père du mensonge c’est le diable (Jean 8 :44) et que tant
que nous demeurons dans les ténèbres (donc dans les choses cachées et dissimulées
propres au mensonge), ce dernier possède un accès à nos vies pour les détruire
(Jean 3 :20 ; Jean 10 :10). Donc à chaque fois que nous avons
agi de la sorte, nous avons causé du tort en permettant à l’ennemi de
poursuivre ses méfaits. Il n’y a donc que la vérité qui affranchit et pour
manifester ce fruit, il faut aimer celui qui le produit : Jésus-Christ
(Jean 8 :32).
En Jésus-Christ, nous sommes progressivement
renouvelés en toutes choses : nous changeons de mentalité, de nature et
donc de comportement (Romains 12 :2 ; 2 Corinthiens 5 :17). Mais
encore une fois, il s’agit d’un processus qui peut parfois prendre beaucoup de
temps en raison de la difficile et longue guérison de nos âmes meurtries par
les circonstances de la vie.
Jésus a dit : « Si
quelqu’un vient à moi, et s’il ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses
enfants, ses frères et ses sœurs, et même sa propre vie, il ne peut être mon
disciple » (Luc 14 :26).
Soyons honnêtes, nous avons été choqués la première
fois que nous avons entendu ces paroles car cette exigence paraissait
insurmontable. Mais nous avons vu plus haut que nous n’aimions pas
véritablement lorsque nous étions dans le péché. Il faut donc bien comprendre
le langage du Seigneur qui veut que nous lui donnions la primauté en toutes
choses, qu’il soit notre principale et unique priorité. Nous devons l’aimer
plus que tout et par-dessus tout. Notre amour pour lui doit dépasser tous nos
centres d’intérêt, et surpasser en intensité l’affection que nous avons pour
nos proches. Voilà ce qu’entend Jésus lorsqu’il emploie le verbe
« haïr ».
En agissant ainsi, causerons-nous du tort à nos
familles et à nos amis ? Non, mais il est fort probable qu’ils ne
comprennent pas notre attitude, qu’ils se sentent rejetés et en concurrence
avec le Seigneur. N’oublions pas que la définition païenne de l’amour est
différente de celle de Dieu. Ainsi, lorsque nous en reprendrons certains par
rapport à leur mauvais comportement, nous les entendrons souvent nous répliquer
que nous sommes méchants, cruels, que nous enfonçons le couteau dans la plaie
encore vive.
Lorsque le Seigneur nous placera face à telles
situations, nous vivrons de véritables déchirures intérieures, notre cœur
saignera à cause du rejet et de l’incompréhension de ces personnes que nous
continuons pourtant à aimer. Mais ne nous laissons pas ébranler par les
reproches que nous pourrions avoir de leur part, ni par les éventuelles crises
de larmes car ils ne comprennent pas qu’en agissant de la sorte on cherche à
préserver leurs âmes.
« Fils de l’homme, je t’établis comme
sentinelle sur la maison d’Israël. Tu écouteras la parole qui sortira de ma
bouche, et tu les avertiras de ma part. Quand je dirai au méchant: Tu mourras!
si tu ne l’avertis pas, si tu ne parles pas pour détourner le méchant de sa
mauvaise voie et pour lui sauver la vie, ce méchant mourra dans son iniquité,
et je te redemanderai son sang. Mais si tu avertis le méchant, et qu’il ne se
détourne pas de sa méchanceté et de sa mauvaise voie, il mourra dans son
iniquité, et toi, tu sauveras ton âme. Si un juste se détourne de sa justice et
fait ce qui est mal, je mettrai un piège devant lui, et il mourra; parce que tu
ne l’as pas averti, il mourra dans son péché, on ne parlera plus de la justice
qu’il a pratiquée, et je te redemanderai son sang. Mais si tu avertis le juste
de ne pas pécher, et qu’il ne pèche pas, il vivra, parce qu’il s’est laissé
avertir, et toi, tu sauveras ton âme » Ezéchiel 3 :17-21.
Cela semble paradoxal, mais ce n’est
qu’en aimant Jésus et en haïssant les autres (comprenez le langage du Seigneur,
car la folie de Dieu est plus sage que la sagesse des hommes [1 Corinthiens
1 :25]), que l’on parvient à aimer véritablement notre prochain.
Jésus a dit « si vous m’aimez, gardez
mes commandements » (Jean 14 :15). Les commandements du Seigneur
concourent-ils à son avantage ou à celui des hommes ?
« Les pharisiens, ayant appris qu’il
avait réduit au silence les sadducéens, se rassemblèrent, et l’un d’eux,
docteur de la loi, lui fit cette question, pour l’éprouver: Maître, quel est le
plus grand commandement de la loi? Jésus lui répondit: Tu aimeras le
Seigneur, ton Dieu, de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée.
C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est
semblable: Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements
dépendent toute la loi et les prophètes » Matthieu 22 :35-40.
Il est évident que les commandements du Seigneur
concourent davantage au bien des hommes. Ainsi, en donnant une priorité absolue
au Seigneur et à sa volonté, en réalité on s’exerce à faire le bien autour de
soi et à aimer les autres du véritable amour, celui qui est désintéressé, pur,
parfait, divin.
En aimant d’abord Jésus on mettra en pratique sa
parole qui nous demande de pardonner, de porter les fardeaux des plus faibles,
de partager son pain avec le malheureux, de relever celui qui a chuté, de
rendre visite aux malades et aux prisonniers… En un mot, de s’oublier, de
s’abaisser et de se dépouiller, pour le bien-être des autres et ce, sans rien
demander en retour.
Aimer Jésus, signifie aussi faire de lui
notre premier confident et conseiller.
« Ainsi parle l’Éternel: Maudit soit
l’homme qui se confie dans l’homme, Qui prend la chair pour son appui, Et qui
détourne son coeur de l’Éternel! Il est comme un misérable dans le désert, Et
il ne voit point arriver le bonheur; Il habite les lieux brûlés du désert, Une
terre salée et sans habitants. Béni soit l’homme qui se confie dans l’Éternel,
Et dont l’Éternel est l’espérance! Il est comme un arbre planté près des eaux,
Et qui étend ses racines vers le courant; Il n’aperçoit point la chaleur quand
elle vient, Et son feuillage reste vert; Dans l’année de la sécheresse, il n’a
point de crainte, Et il ne cesse de porter du fruit » Jérémie
17 :5-8.
On l’a souvent dit et cela mérite d’être encore
répété : Dieu souhaite une relation intime et personnelle avec chacun
d’entre nous. Mais en regardant de plus près la vie de nombreux chrétiens, on
se rend compte que le Seigneur est d’avantage cantonné à la place d’une simple
connaissance de passage que celui de meilleur ami ou de l’époux.
Pourtant, la fidélité et la fiabilité font partie intégrante de sa
personne.
« Puis je vis le ciel ouvert, et voici,
parut un cheval blanc. Celui qui le montait s’appelle Fidèle et
Véritable, et il juge et combat avec justice »
Apocalypse 19 :11.
Dieu nous demande de prier sans cesse (1
Thessaloniciens 5 :17). En nous demandant cela, il n’exige pas un flot de
paroles impersonnelles et répétitives (Matthieu 6 :7) mais il désire
réellement qu’on se décharge sur lui de tous nos fardeaux et soucis (Matthieu
11 :28 ; 1 Thessaloniciens 5 :7) et qu’on le mette dans la
confidence de toutes les difficultés que nous rencontrons.
Nous pouvons tout lui confier, tout lui dire,
même les choses les plus inavouables. Lui seul connaît l’état de nos cœurs et
en étant sincères avec lui, il nous accueillera et nous délivrera.
Contrairement aux hommes, il ne nous jugera pas et ne nous condamnera pas.
« […] car je suis venu non pour
juger le monde, mais pour sauver le monde » Jean 12 :47.
« Jésus se rendit à la montagne des
oliviers. Mais, dès le matin, il alla de nouveau dans le temple, et tout le
peuple vint à lui. S’étant assis, il les enseignait. Alors les scribes et les
pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère; et, la plaçant au milieu
du peuple, ils dirent à Jésus: Maître, cette femme a été surprise en flagrant
délit d’adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles
femmes: toi donc, que dis-tu? Ils disaient cela pour l’éprouver, afin de
pouvoir l’accuser. Mais Jésus, s’étant baissé, écrivait avec le doigt sur la
terre. Comme ils continuaient à l’interroger, il se releva et leur
dit: Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre
contre elle. Et s’étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre.
Quand ils entendirent cela, accusés par leur
conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu’aux derniers;
et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. Alors
s’étant relevé, et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit: Femme, où sont
ceux qui t’accusaient? Personne ne t’a-t-il condamnée? Elle répondit: Non,
Seigneur. Et Jésus lui dit: Je ne te condamne pas non plus: va, et ne
pèche plus » Jean 8 :1-11.
Jésus nous accueille toujours tels que nous
sommes et ne regarde pas à l’apparence (1 Samuel 16 :7). Il a
toujours du temps à nous consacrer et une oreille attentive pour nous écouter.
« Comme Jésus était à table dans la
maison, voici, beaucoup de publicains et de gens de mauvaise vie vinrent se
mettre à table avec lui et avec ses disciples. Les pharisiens virent cela, et
ils dirent à ses disciples: Pourquoi votre maître mange-t-il avec les
publicains et les gens de mauvaise vie? Ce que Jésus ayant entendu, il
dit: Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin,
mais les malades. Allez, et apprenez ce que signifie: Je prends plaisir à la
miséricorde, et non aux sacrifices. Car je ne suis pas venu appeler des justes,
mais des pécheurs » Matthieu 9 :10-13.
Jésus n’est ni surpris ni choqué par ce que nous
pourrions lui confesser dans la prière. Et il a toujours le bon mot pour
corriger et le bon mot pour réconforter. La voix de son Esprit est douce et
paisible et nous encourage toujours à persévérer tandis que la maladresse des
hommes, même chrétiens, peut décourager.
Jésus nous donnera toujours les meilleurs
conseils et tout ce qu’il nous demande de faire est exclusivement pour notre
bien.
« Oh! si tu étais attentif à mes commandements!
Ton bien-être serait comme un fleuve, Et ton bonheur comme les flots de la
mer » Esaïe 48 :18.
Jésus mérite véritablement d’être aimé plus que
tout car il nous a aimés le premier (1 Jean 4 :19) et qu’il n’a consenti
aucun limite à son amour. Il s’est dépouillé de tout en prenant l’apparence des
hommes (Philippiens 2 :7). Il s’est humilié jusqu’à la mort et ne s’est
épargné aucune souffrance pour nous sauver (Hébreux 5 :7). Il nous a donné
sa vie, son pardon, l’Esprit-Saint, et ce n’est pas tout : il nous prépare
désormais le festin des noces et une merveilleuse maison, alors que nous ne
méritions rien de tout cela (Apocalypse 19 :9 ; Jean 14 :2).
C’est pourquoi ne manquons pas de reconnaissance
envers ce grand Dieu plein de miséricorde et de compassion, lui qui nous a
offert le salut gratuitement. Lui qui est sans péché, il s’est abaissé à notre
niveau pour nous délivrer de nombreuses iniquités qui nous auraient conduit en
enfer.
Louez son nom à chaque seconde, bénissez-le,
consacrez-lui toute votre vie car il est merveilleux. Ne laissez personne vous
séparer de lui. Regardez les choses du monde comme de la boue. Acceptez de tout
perdre, sauf lui. Adorez-le en Esprit en vérité car il en est digne.
Oh Dieu que ta compassion est infinie
Tu es l’amour de ma vie
Seigneur c’est toi qui donne un sens à mon
existence
Je te consacre tous les battements de mon
cœur
Je m’offre à toi oh grand roi
Je veux te suivre car je n’ai besoin que de
toi
Les choses du monde sont ternes
Ni l’or ni l’argent de m’intéressent
Ni la gloire des hommes ni les richesses
Que rien ne me sépare de toi
Ni un homme, ni une femme ni un enfant
Je veux te dire toute ma reconnaissance
Car tu t’es chargé de mes fardeaux et tu as
porté la multitude de mes péchés
Ta chair a été meurtrie et déchirée pour me
racheter
Que les hommes te louent oh Dieu
Que les anges t’adorent merveilleux sauveur
Que les genoux fléchissent et que la création
entière se prosterne
Ta magnificence, ta sagesse et ton éclat sont
plus grandes que l’univers que tu as crée
Je veux me sanctifier pour toi et t’aimer dès
aujourd’hui et pour l’éternité
Que toute la gloire de te revienne
A toi l’honneur cher Jésus, l’ami fidèle et
véritable
Source : http://lesdokimos.wordpress.com/2011/09/23/aimer-jesus-hair-les-autres%e2%80%a6une-contradiction/
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