Chers visiteurs de passage et amis lecteurs, je vous salue !

Apocalypse 1 : 8
"Je suis l'alpha et l'Oméga, le commencement et la fin, dit le Seigneur, Celui QUI EST, et QUI ÉTAIT, et QUI SERA, le Tout-Puissant."

Alpha et Omega Première let dernière lettre de l’alphabet Grec. En réalité Jésus-Christ qui parlait le plus souvent en Araméen n’a jamais dit en Apocalypse 1 : 8, 21 : 6 et 22 :13 je suis l’Alpha et l’Oméga car il serait étonnant que Dieu dans son ciel de gloire parle dans la langue des idolâtres. En réalité le Christ a plus certainement dit à Jean, je suis l’Aleph et le Thaw, lettres qui ont une signification beaucoup plus riche. Aleph représente symboliquement (le premier, le maître et un taureau) et le Thaw représente symboliquement (une marque, un signe, une croix). Christ a donc dit : « je suis le premier et le dernier, mais aussi je suis le maître qui est mort sur la croix qui est le signe de votre délivrance ». C’est quand même beaucoup plus beau !


Que la grâce et la paix du Seigneur soient avec nous et avec nos esprits, dans le Nom de Jésus, amen !
Je me présente dans la rubrique : "Qui suis-je ?"
Je vous souhaite le meilleur pour aujourd'hui et demain. Que vous puissiez rencontrer Jésus et être sauvés est mon souhait pour vos vies. Que Dieu Vous Bénisse.

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En 2010, vous trouverez un espace pour vos PRIERES chaque mois, que vous pourrez utiliser toutes les années qui suivront, mois par mois, selon le moment où vous souhaiterez déposer vos prières.

En 2010, j'ai déposé chaque semaine des VERSETS à méditer que vous pouvez encore étudier les années suivantes aussi, car ce sont les enseignements de la parole vivante pour tous les jours !

Pour les années suivantes, je n'ai pas repris ces rubriques, car vous pouvez les retrouver dans le menu des archives pour vos besoins.

Je continuerai à éditer des messages d'édification, d'exhortation, sur l'occultisme, la fin des temps, etc.

Je vous bénis, à bientôt au fil des articles à suivre...
Votre dévouée en Christ, Flo.

vendredi 10 juin 2011

Le péché un concept démodé, ou notre pire ennemi !

Extraits du livre de M. Basilea Schlink « Jamais plus le même »

Nous vivons à une époque qui n’accorde plus de poids au péché. Ce dernier a perdu son importance : il ne compte plus. De nos jours, on nie son existence et, à plus forte raison, celle de satan. L’homme moderne a rayé le mot « péché » de son vocabulaire ; il prétend en effet que celui-ci n’existe pas. Inutile, par conséquent, de le combattre. Et l’on donne ainsi au péché la possibilité de s’épanouir. Mais la réalité de notre époque démontre précisément que satan existe, que le péché est une puissance satanique, le malheur et la perdition en étant le salaire. A chaque pas nous butons sur cette réalité : criminalité, suicides en nombre croissant, toxicomanie aux conséquences funestes.

Devant les effets effrayants du péché, dont Dieu nous donne l’illustration vivante comme jamais jusqu’à ce jour, il n’est presque rien à quoi nous devions prêter davantage attention qu’au péché. Haïr et proscrire le péché sont les seuls moyens, à notre époque pervertie, de faire obstacle au malheur, à la perdition, à la criminalité, à la décadence des valeurs morales. Et nous les croyants, nous devons les premiers, plus que jamais, prendre le péché au sérieux ; car il tombe sous le jugement de Dieu, et Sa Parole affirme que le jugement commencera par la maison de Dieu I Pi 4 :17, donc par nous.

Nous aurons donc, en tant que croyants, à rendre particulièrement compte de notre position envers le péché, nous serons jugés avec plus de sévérité que les autres parce que nous avons reçu davantage : la révélation claire de la volonté de Dieu et en même temps la rédemption de tous nos péchés par notre Seigneur Jésus-Christ. Les péchés que nous ne déposons pas au pied de la croix, que nous ne confessons pas et que nous ne rejetons pas, ont des conséquences dans notre vie personnelle dès maintenant. Nous perdons la paix et la joie, parce que notre péché nous sépare de Dieu. Mais, pire encore, celui-ci produit des fruits effrayants pour l’éternité. Parce qu’il tombera sous le coup d’un jugement terrible dans l’autre monde, il nous faut boire le calice jusqu’à la lie. L’apôtre Paul nous dit que nous devons tous comparaître, même les croyants, devant le tribunal de Christ afin que chacun reçoive selon le bien et le mal qu’il aura fait durant sa vie II Co 5 :10.

Donc il est sage, celui qui, aujourd’hui, évalue son péché d’après les critères de l’Ecriture Sainte et qui mène le combat de la foi dans sa vie personnelle.

Agissant ainsi, il ne peut que prendre position contre cette fausse charité qui, aujourd’hui, tolère largement le péché, sous prétexte que les conditions sociales et politiques, la « mauvaise infrastructure » de la société sont à l’origine de tous les maux et de toutes les misères : par exemple les bidonvilles, la criminalité, l’homosexualité et la toxicomanie. Mais les faits prouvent que les circonstances, les relations sociales et les conditions de vie ne sauraient être à l’origine de la prolifération du péché. En effet, la criminalité, avec son cortège de misère et de destruction ; destruction des personnes et même de la vie d’une nation, s’accroît précisément dans les pays à niveau social élevé, comme les Etats-Unis ou l’Allemagne Fédérale. Seul le péché peut déclencher une telle avalanche de vices et de crimes, qui provoquent à leur tour malheur et perdition. Alors le péché se propage, parce qu’en refusant de le reconnaître en tant que tel et, à plus forte raison de le punir, on lui laisse le champ libre.

Lorsque, sous prétexte de charité, mal comprise, on minimise le péché d’autrui, lorsqu’on le soutient même, cela prouve que l’on refuse de combattre son propre péché, que l’on refuse d’y renoncer. De cette façon, on se place du côté de l’Ennemi de Jésus-Christ. Car le péché et satan vont de pair. Jésus, qui aime tant le pécheur, hait le péché, parce qu’il mène le pécheur à la perdition. En montant sur la croix, chargé de tous nos péchés, Il a manifestement condamné le péché et proclamé que celui qui le commet mérite la mort.

Aussi Jésus exige-t-Il que nous soyons impitoyables dans notre lutte contre le péché. « Arrache ton œil » ne lui accorde aucun droit à l’existence, « car il est avantageux pour toi qu’un seul de tes membres périsse et que ton corps entier ne soit pas jeté dans la géhenne » Mt 5 :29. Il nous répète, sans équivoque possible, que le péché est jugé par Dieu, qu’un péché et qu’une faute non pardonnés provoquent ici-bas le malheur de l’individu ou de tout un peuple et, dans l’au-delà, conduisent tout droit au royaume des ténèbres et de l’horreur. Et cet enfer, dont Jésus parle si souvent, est une réalité.

Voilà le message proclamé par Jésus : « Repentez-vous ! » Abandonnez les voies du péché que vous suivez ! Jésus a pris le péché au sérieux de sorte qu’Il a non seulement maintenu le Décalogue avec toutes ses exigences ; Il l’a même approfondi en s’attaquant au péché jusque dans un regard de convoitise et une parole méchante et en menaçant des châtiments de l’enfer, s’il ne se produit pas de repentance et pas de conversion. Car Dieu avait dit déjà à propos des Dix Commandements que ceux qui ne leur obéiraient pas, seraient frappés de malheur, de perdition et d’un terrible jugement.

Les épîtres du Nouveau Testament nous montrent à quel point les apôtres eux aussi prenaient les péchés au sérieux et les appelaient par leur nom.

Autant l’apôtre Paul chante les louanges de la charité, qui patiente et qui excuse tout I Co 13, autant il exige avec sang-froid et rigueur que les pécheurs soient châtiés I Co 5 :5. Et il écrit à Timothée : « Ceux qui pèchent, reprends-les devant tous, afin que les autres aussi éprouvent de la crainte » I Ti 5 :20.

Celui qui ne veut pas se rendre complice de cette « fausse charité » par son approbation ou son accord doit donc prendre position contre le péché.

En effet, quiconque croit vraiment en Jésus-Christ et L’aime doit haïr ce qu’Il hait, c’est-à-dire le péché. Il lui est impossible de le minimiser ou de le tolérer, ou encore de ne plus le qualifier de péché chez les criminels, les toxicomanes et les dépravés. Selon l’Ecriture Sainte, le péché est passible de châtient parce qu’il cause des dégâts effrayants : il nous rend coupables, nous entraîne à notre perdition, nous et notre peuple.

Si un membre de l’Eglise de Jésus-Christ se laisse prendre au piège de la « fausse charité », et ne prend plus le péché au sérieux, l’attenue, le tolère et même par exemple, comme le font les représentants de la « nouvelle morale », il entraîne les autres dans la voie du péché et devient pour eux une occasion de chute et de scandale. Alors s’abat sur lui la lourde condamnation de Jésus : « Mais si quelqu’un scandalisait un de ces petits (jeunes dans la foi) il vaudrait mieux que ‘l’on suspendît à son cou une meule de moulin… » Mat 18 :6.

Cette « tolérance » déplacée favorise l’épanouissement du péché, enlève à l’individu toute chance de faire l’expérience par la repentance du pardon et d’une guérison intérieure authentique du péché par le Seigneur.

C’est pourquoi notre amour du prochain, notre charité, ne vaut que si elle naît de notre amour pour Dieu, car dit la Sainte Ecriture : A ceci nous reconnaissons que nous aimons les enfants de Dieu- que nous sommes charitables au vrai sens du terme, - si nous aimons Dieu. Et la preuve que nous aimons Dieu, c’est que nous « gardons ses commandements ». Or, quiconque garde Ses commandements prend positon contre le péché, qui est du diable ; en effet, « celui qui pèche est du diable » I Jn 3 :8. Il est de notre devoir de combattre satan et le péché afin d’éviter que l’anarchie et la perdition ne continuent à se développer parmi nous par notre faute, car « le péché est la transgression de la loi » I Jn 3 :4b.

Dieu est Oui et Amen. Tout ce qu’Il a dit s’est toujours réalisé ; c’est pourquoi il en sera de même ici, on ne se moque pas de Dieu. L’homme récoltera ce qu’il a semé par son péché et c’est conformément à cela que notre place nous sera assignée dans l’éternité. Il est impossible de savoir combien de gens chacun de nous entraîne, soit à la perdition éternelle, soit par notre combat contre le péché à la gloire éternelle.

Lorsque nous sommes confrontés à de telles vérités en lisant la Parole de Dieu, nous sommes tentés de dire, comme beaucoup de Ses disciples déclarèrent alors : « Cette parole est dure ; qui peut l’écouter ? » Jean 6 :60. Mais la réponse de Jésus que ses disciples murmuraient à ce sujet, leur dit : « Cela vous scandalise-t-il ? … C’est l’esprit qui vivifie ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie » Jean 6 :61,63.

Les paroles de Jésus sont esprit et vie, et c’est pourquoi elles ne sont pas dures, mais libératrices et bienfaisantes pour celui qui y croit. A-t-on jamais annoncé pareille surabondance de grâce ? Malgré notre passé lourd de fautes, malgré les liens massifs du péché, l’endurcissement de notre caractère, les prédispositions héréditaires, il nous est offert une rédemption totale par Celui qui est le Rédempteur par excellence. Jésus ne dit-Il pas Lui-même : « Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres » Jean 8 :36.

Parce que Dieu est Oui et Amen, si nous prenons au sérieux ce qu’Il dit du péché, si, dès ici-bas, nos résistons au péché, nous expérimenterons l’efficacité de Sa rédemption et la réalité de Sa délivrance, qui nous sauve du châtiment éternel.

Y aurait-il un prix trop élevé à payer pour que s’accomplisse en nous Sa rédemption pendant cette courte vie, où « la tribulation est temporaire et passagère » ? Bien plus, c’est l’éternité qui est en jeu.

Nous y recevrons la couronne des vainqueurs pour avoir mené le combat de la foi pendant un bref laps de temps. Un sage a dit « comparé à l’éternité, notre vie terrestre est aussi courte que le vol d’un oiseau traversant une chambre, d’une fenêtre à l’autre, car son vrai milieu est à l’extérieur ».

C’est ainsi que notre vie terrestre ne dure qu’un court instant par rapport à l’éternité. Et pendant ce court instant, nous devrions nous ménager, et ne pas combattre ? Satan nous suggère, bien sûr, le contraire. Il nous permet de persister dans notre péché en toute bonne conscience pendant notre courte vie. Il nous tranquillise de toutes les façons, nous invite à nous considérer comme sauvés par une « grâce à bon marché ». Mais en l’écoutant, nous nous préparons un réveil brutal dans l’autre monde, avec l’immense déception de nous trouver loin de Jésus.

Puissions-nous ne pas être du nombre de ceux qui, sous prétexte que la Parole de Jésus est trop dure, refusent Son offre ineffable à nous laisser délivrer de tous nos péchés, et qui murmurent contre les conditions qu’Il pose. C’était là l’attitude de ceux dont Jésus dit dans le même contexte : « Mais il en est parmi vous quelques-uns qui ne croient point » Jean 6 :64. Cependant, qui voudrait refuser la main tendue de Jésus qui nous propose la rédemption éternelle ? Qui craindrait de mettre le prix pour atteindre le but sublime qu’i veut nous faire atteindre : les noces de l’Agneau ?

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1 Corinthiens 3 : 6

J'ai planté, Apollos a arrosé, mais Dieu a donné l'accroissement.

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