Bonjour à tous et à toutes !
Je vous souhaite le meilleur dans notre Seigneur Jésus-Christ, que La vérité soit dévoilée en sa résurrection pour vos âmes et vos esprits, amen !
Lundi 17/05/10 :
2 Pierre :
3 : 1
Bien-aimés, voici déjà la seconde épître que je vous écris. Dans l'une et dans l'autre je réveille par mes avertissements votre saine intelligence ;
Afin que vous vous souveniez des choses qui ont été prédites par les saints prophètes, et de notre commandement à nous, les apôtres du Seigneur et Sauveur.
Sachant tout d'abord ceci, qu'aux derniers jours il viendra des moqueurs, qui se conduiront selon leurs convoitises,
Et qui diront : Où est la promesse de son avènement ? Car depuis que nos pères sont morts, toutes choses demeurent comme depuis le commencement de la création.
Car ils ignorent volontairement ceci, c'est que les cieux furent autrefois créés par la parole de Dieu aussi bien que la terre, tirée de l'eau, et qui subsistait au moyen de l'eau ;
Et que ce fut par ces choses que le monde d'alors périt, submergé par l'eau.
Or, les cieux et la terre d'à présent sont gardés par la même parole, et réservés pour le feu, au jour du jugement et de la perdition des hommes impies.
Toutefois, bien-aimés, n'ignorez pas une chose, c'est que pour le Seigneur un jour est comme mille ans, et mille ans sont comme un jour.
Le Seigneur ne retarde point l'exécution de sa promesse, comme quelques-uns croient qu'il y ait du retard; mais il use de patience envers nous, ne voulant point qu'aucun périsse, mais que tous viennent à la repentance.
Or, le jour du Seigneur viendra comme un larron dans la nuit ; en ce temps-là les cieux passeront avec fracas, et les éléments embrasés seront dissous, et la terre, avec les œuvres qui sont en elle, sera entièrement brûlée.
Puis donc que toutes ces choses doivent se dissoudre, quels ne devez-vous pas être par la sainteté de votre conduite et votre piété,
Attendant, et hâtant la venue du jour de Dieu, dans lequel les cieux enflammés seront dissous, et les éléments embrasés se fondront ?
Or, nous attendons, selon sa promesse, de nouveaux cieux et une nouvelle terre, où la justice habite.
C'est pourquoi, bien-aimés, en attendant ces choses, efforcez-vous d'être trouvés sans tache et sans reproche devant lui dans la paix.
Et croyez que la longue patience de notre Seigneur est votre salut, comme Paul notre frère bien-aimé vous l'a aussi écrit, selon la sagesse qui lui a été donnée ;
Et comme il le fait dans toutes ses épîtres, quand il y parle de ces choses ; parmi lesquelles il en est de difficiles à entendre, que les personnes ignorantes et mal assurées tordent, comme les autres écritures, à leur propre perdition.
Vous donc, bien-aimés, qui êtes avertis, soyez sur vos gardes, de peur qu'entraînés par l'égarement des impies, vous ne veniez à déchoir de votre fermeté.
Mais croissez dans la grâce et la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. A lui soit gloire, et maintenant, et pour le jour d'éternité ! Amen.
Mardi 18/05/10 :
2 Timothée :
2 : 1
Toi donc, mon fils, fortifie-toi, dans la grâce qui est en Jésus-Christ.
2 : 2
Et les choses que tu as entendues de moi, en présence de plusieurs témoins, confie-les à des hommes fidèles, qui soient capables aussi d'enseigner les autres.
2 : 3
Toi donc, endure les souffrances comme un bon soldat de Jésus-Christ.
2 : 4
Aucun homme faisant la guerre, ne s'embarrasse des affaires de la vie, afin de plaire à celui qui l'a enrôlé.
2 : 5
Et si quelqu'un combat dans la lice, il n'est couronné que s'il a combattu suivant les règles.
2 : 6
Il faut que le laboureur travaille, avant de recueillir les fruits.
2 : 7
Considère ce que je dis, et que le Seigneur te donne l'intelligence en toutes choses.
2 : 8
Souviens-toi de Jésus-Christ, ressuscité des morts, issu de la race de David, selon mon Évangile,
2 : 9
Pour qui je souffre jusqu'à être lié comme un malfaiteur, mais la parole de Dieu n'est point liée.
2 : 10
C'est pourquoi je supporte tout à cause des élus, afin qu'ils obtiennent aussi le salut qui est en Jésus-Christ, avec la gloire éternelle.
2 : 11
Cette parole est certaine : En effet, si nous mourons avec lui, nous vivrons aussi avec lui.
2 : 12
Si nous souffrons avec lui, nous régnerons aussi avec lui ; si nous le renions, il nous reniera aussi ;
2 : 13
Si nous sommes infidèles, il demeure fidèle ; il ne peut se renier lui-même.
2 : 14
Rappelle ces choses, protestant devant le Seigneur qu'on évite les disputes de mots, qui ne servent à rien, mais pervertissent ceux qui écoutent.
2 : 15
Efforce-toi de te montrer éprouvé devant Dieu, comme un ouvrier irréprochable, dispensant avec droiture la parole de la vérité.
2 : 16
Mais évite les discours profanes et vains ; car ceux qui les tiennent tombent toujours plus dans l'impiété ;
2 : 17
Et leur parole rongera comme la gangrène. De ce nombre sont Hyménée et Philète,
2 : 18
Qui se sont détournés de la vérité, en disant que la résurrection est déjà arrivée, et qui renversent la foi de quelques-uns.
Toutefois, le solide fondement de Dieu demeure, ayant ce sceau : Le Seigneur connaît ceux qui sont à lui ; et : Quiconque invoque le nom de Christ, qu'il se détourne de l'iniquité.
Dans une grande maison il y a non seulement des vases d'or et d'argent, mais encore de bois et de terre ; les uns pour un usage honorable, et les autres pour un usage vulgaire.
Si donc quelqu'un se conserve pur de ces choses, il sera un vase d'honneur, sanctifié, utile à son maître, et préparé pour toute bonne œuvre.
Fuis aussi les désirs de la jeunesse, et recherche la justice, la foi, la charité et la paix avec ceux qui invoquent le Seigneur d'un cœur pur.
Et repousse les questions folles, et qui sont sans instruction, sachant qu'elles produisent des contestations.
Or, il ne faut pas que le serviteur du Seigneur aime à contester ; mais il doit être doux envers tous, propre à enseigner, patient ;
Redressant avec douceur les adversaires, attendant que Dieu leur donne la repentance, et leur fasse connaître la vérité,
Et qu'ils sortent de l'ivresse des pièges du diable, qui les tient captifs et soumis à sa volonté.
Mercredi 19/05/10 :
JEAN :
13 : 1
Avant la fête de Pâque, Jésus, sachant que son heure était venue pour passer de ce monde au Père, comme il avait aimé les siens qui étaient dans le monde, il les aima jusqu'à la fin.
13 : 2
Et lors du souper (le Diable ayant déjà mis au cœur de Judas l'Iscariote, fils de Simon, de le trahir),
13 : 3
Jésus sachant que le Père lui avait remis toutes choses entre les mains, et qu'il était venu de Dieu, et qu'il retournait à Dieu,
13 : 4
Se leva du souper, ôta son manteau ; et ayant pris un linge, il s'en ceignit.
13 : 5
Ensuite, il mit de l'eau dans un bassin, et se mit à laver les pieds de ses disciples, et à les essuyer avec le linge dont il était ceint.
13 : 6
Il vint donc à Simon Pierre, qui lui dit : Toi, Seigneur, tu me laverais les pieds !
13 : 7
Jésus répondit et lui dit : Tu ne sais maintenant ce que je fais ; mais tu le sauras dans la suite.
13 : 8
Pierre lui dit : Tu ne me laveras jamais les pieds. Jésus lui répondit : Si je ne te lave, tu n'auras point de part avec moi.
13 : 9
Alors Simon Pierre lui dit : Seigneur, non seulement les pieds, mais aussi les mains et la tête.
13 : 10
Jésus lui dit : Celui qui s'est baigné a besoin seulement qu'on lui lave les pieds ; puis il est entièrement net. Or, vous êtes nets, mais non pas tous.
13 : 11
Car il savait qui était celui qui le trahissait ; c'est pour cela qu'il dit : Vous n'êtes pas tous nets.
13 : 12
Après donc qu'il leur eut lavé les pieds, et qu'il eut repris son manteau, s'étant remis à table, il leur dit : Savez-vous ce que je vous ai fait ?
13 : 13
Vous m'appelez Maître et Seigneur, et vous dites vrai ; car je le suis.
13 : 14
Si donc je vous ai lavé les pieds, moi le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres.
13 : 15
Car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait.
13 : 16
En vérité, en vérité je vous le dis, le serviteur n'est pas plus grand que son maître, ni l'envoyé plus grand que celui qui l'a envoyé.
13 : 17
Si vous savez ces choses, vous êtes heureux, pourvu que vous les pratiquiez.
13 : 18
Je ne parle point de vous tous ; je sais ceux que j'ai choisis ; mais il faut que l'Écriture soit accomplie : Celui qui mange le pain avec moi a levé le pied contre moi.
13 : 19
Je vous le dis dès à présent, avant que la chose arrive ; afin que, quand elle sera arrivée, vous me reconnaissiez pour ce que je suis.
13 : 20
En vérité, en vérité je vous le dis : Celui qui reçoit celui que j'aurai envoyé, me reçoit ; et celui qui me reçoit, reçoit celui qui m'a envoyé.
13 : 21
Quand Jésus eut dit cela, il fut ému en son esprit, et il rendit ce témoignage : En vérité, en vérité je vous dis, que l'un de vous me trahira.
13 : 22
Et les disciples se regardaient les uns les autres, ne sachant de qui il parlait.
13 : 23
Or, l'un d'eux, celui que Jésus aimait, était couché à table vers son sein.
13 : 24
Simon Pierre lui fit signe de demander qui était celui de qui il parlait.
13 : 25
Et lui, s'étant penché sur le sein de Jésus, lui dit : Seigneur, qui est-ce ?
13 : 26
Jésus répondit : C'est celui à qui je donnerai un morceau trempé. Et ayant trempé un morceau, il le donna à Judas l'Iscariote, fils de Simon.
Et après que Judas eut pris le morceau, Satan entra en lui. Jésus donc lui dit : Fais au plus tôt ce que tu as à faire.
Mais aucun de ceux qui étaient à table ne comprit pourquoi il lui dit cela.
Car quelques-uns pensaient que, comme Judas avait la bourse, Jésus lui disait : Achète ce qu'il nous faut pour la fête ; ou : Donne quelque chose aux pauvres.
Ayant donc pris le morceau, Judas sortit immédiatement. Or, il était nuit.
Quand il fut sorti, Jésus dit : Maintenant le Fils de l'homme est glorifié, et Dieu est glorifié en lui.
Si Dieu est glorifié en lui, Dieu le glorifiera aussi en lui-même, et il le glorifiera bientôt.
Mes petits enfants, je suis encore avec vous pour un peu de temps ; vous me chercherez, et, comme je l'ai dit aux Juifs, je vous le dis aussi à vous maintenant : Où je vais, vous ne pouvez venir.
Je vous donne un commandement nouveau ; c'est que vous vous aimiez les uns les autres ; que, comme je vous ai aimés, vous vous aimiez aussi les uns les autres.
C'est à ceci que tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres.
Simon Pierre lui dit : Seigneur, où vas-tu ? Jésus lui répondit : Où je vais, tu ne peux me suivre maintenant ; mais tu me suivras dans la suite.
Pierre lui dit : Seigneur, pourquoi ne puis-je pas te suivre maintenant ? Je donnerai ma vie pour toi.
Jésus lui répondit : Tu donneras ta vie pour moi ! En vérité, en vérité je te le dis, le coq ne chantera point que tu ne m'aies renié trois fois.
Jeudi 20/05/10 :
ECCLESIASTE :
7 : 1
Une bonne réputation vaut mieux que le bon parfum ; et le jour de la mort, que le jour de la naissance.
7 : 2
Mieux vaut aller dans une maison de deuil, que d'aller dans une maison de festin ; car là est la fin de tout homme, et celui qui vit met cela dans son cœur.
7 : 3
Mieux vaut la tristesse que le rire ; car, par la tristesse du visage, le cœur devient joyeux.
7 : 4
Le cœur des sages est dans la maison de deuil ; mais le cœur des insensés est dans la maison de joie.
7 : 5
Mieux vaux entendre la répréhension du sage, que d'entendre la chanson des insensés.
7 : 6
Car tel qu'est le bruit des épines sous la chaudière, tel est le rire de l'insensé. Cela aussi est une vanité.
7 : 7
Certainement l'oppression peut faire perdre le sens au sage ; et le présent corrompt le cœur.
7 : 8
Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain.
7 : 9
Ne te hâte point dans ton esprit de t'irriter ; car l'irritation repose dans le sein des insensés.
7 : 10
Ne dis point : D'où vient que les jours passés étaient meilleurs que ceux-ci ? Car ce n'est point par sagesse que tu t'enquiers de cela.
7 : 11
La sagesse est aussi bonne qu'un héritage ; elle est un avantage pour ceux qui voient le soleil.
7 : 12
Car on est à couvert à l'ombre de la sagesse et à l'ombre de l'argent ; mais la science a cet avantage, que la sagesse fait vivre celui qui la possède.
7 : 13
Regarde l'œuvre de Dieu ; car qui peut redresser ce qu'il aura courbé ?
7 : 14
Au jour de la prospérité, sois joyeux; et au jour de l'adversité, prends-y garde ; aussi Dieu a fait l'un comme l'autre, afin que l'homme ne trouve rien de ce qui sera après lui.
7 : 15
J'ai vu tout ceci pendant les jours de ma vanité. Il y a tel juste qui périt dans sa justice, et il y a tel méchant qui prolonge ses jours dans sa méchanceté.
7 : 16
Ne sois pas juste à l'excès, et ne te fais pas trop sage ; pourquoi te perdrais-tu ?
7 : 17
Ne sois pas méchant à l'excès, et ne sois point insensé ; pourquoi mourrais-tu avant ton temps ?
7 : 18
Il est bon que tu retiennes ceci, et que tu ne négliges pas cela ; car celui qui craint Dieu, sort de toutes ces choses.
7 : 19
La sagesse donne plus de force au sage que dix gouverneurs qui seraient dans une ville.
7 : 20
Certainement il n'y a point d'homme juste sur la terre, qui fasse le bien et qui ne pèche point.
7 : 21
Aussi ne fais point attention à toutes les paroles qu'on dira, de peur que tu n'entendes ton serviteur parler mal de toi.
7 : 22
Car ton cœur a reconnu bien des fois que toi aussi tu as mal parlé des autres.
7 : 23
J'ai éprouvé tout cela par la sagesse ; et j'ai dit : J'acquerrai de la sagesse ; mais elle s'est éloignée de moi.
7 : 24
Ce qui est loin, ce qui est profond, profond, qui peut l'atteindre ?
7 : 25
J'ai appliqué mon cœur à connaître, à sonder et à chercher la sagesse et la raison de tout, et à connaître la méchanceté de la folie, et la sottise de la déraison.
7 : 26
Et j'ai trouvé plus amère que la mort, la femme dont le cœur est un piège et un filet, et dont les mains sont des liens ; celui qui est agréable à Dieu lui échappera ; mais le pécheur sera pris par elle.
7 : 27
Voici, dit l'Ecclésiaste, ce que j'ai trouvé, en examinant les choses une à une pour en trouver la raison.
7 : 28
Voici ce que mon âme cherche encore, mais que je n'ai point trouvé. J'ai trouvé un homme entre mille ; mais je n'ai pas trouvé une femme entre elles toutes.
7 : 29
Seulement voici ce que j'ai trouvé : c'est que Dieu a fait l'homme droit ; mais ils ont cherché beaucoup de discours.
Vendredi 21/05/10 :
2 CORINTHIENS :
12 : 1
Certainement il ne me convient pas de me glorifier, car j'en viendrai à des visions et à des révélations du Seigneur.
12 : 2
Je connais un homme en Christ, qui, il y a plus de quatorze ans, fut ravi jusqu'au troisième ciel ; (si ce fut dans le corps, je ne sais ; si ce fut hors du corps, je ne sais ; Dieu le sait.)
12 : 3
Et je sais que cet homme (si ce fut dans le corps, ou si ce fut hors du corps, je ne sais ; Dieu le sait)
12 : 4
Fut ravi dans le paradis, et y entendit des paroles ineffables, qu'il n'est pas possible à l'homme d'exprimer.
12 : 5
Je puis me glorifier d'être cet homme-là ; mais je ne me glorifierai pas de moi-même, sinon dans mes infirmités.
12 : 6
Si je voulais me glorifier, je ne serais pas imprudent, car je ne dirais que la vérité ; mais je m'en abstiens, afin que personne ne m'estime au-delà de ce qu'il voit en moi, ou de ce qu'il m'entend dire.
12 : 7
Et de peur que je ne m'élevasse trop, à cause de l'excellence de mes révélations, il m'a été mis dans la chair une écharde, un ange de Satan, pour me souffleter, afin que je ne m'élève point.
12 : 8
Trois fois j'ai prié le Seigneur de m'en délivrer,
12 : 9
Mais il m'a dit : Ma grâce te suffit ; car ma force s'accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc plus volontiers dans mes infirmités, afin que la force de Christ habite en moi.
12 : 10
C'est pourquoi je me complais dans les infirmités, dans les opprobres, dans les misères, dans les persécutions, dans les angoisses pour le Christ ; car lorsque je suis faible, c'est alors que je suis fort.
12 : 11
J'ai été imprudent en me vantant; c'est vous qui m'y avez contraint, car je devais être recommandé par vous, vu que je n'ai été inférieur en rien aux plus excellents apôtres, quoique je ne sois rien.
12 : 12
Les preuves de mon apostolat ont éclaté parmi vous par une patience entière, par des prodiges, des merveilles et des miracles.
12 : 13
Car, en quoi avez-vous été inférieurs aux autres Églises, sinon en ce que je ne vous ai point été à charge ? Pardonnez-moi ce tort.
12 : 14
Voici, pour la troisième fois je suis prêt à aller vers vous ; et je ne vous serai point à charge, car ce ne sont pas vos biens que je cherche, c'est vous-mêmes ; car ce n'est pas aux enfants à amasser pour leurs parents, mais c'est aux parents à amasser pour leurs enfants.
12 : 15
Et quant à moi, je dépenserai très volontiers, et je me dépenserai entièrement moi-même pour vos âmes ; dussé-je en vous aimant toujours plus, être toujours moins aimé.
12 : 16
Soit ! Dites-vous. Je ne vous ai point été à charge, c'est qu'étant un homme artificieux, je vous ai pris par ruse.
12 : 17
Mais ai-je tiré du profit de vous par quelqu'un de ceux que je vous ai envoyés ?
12 : 18
J'ai délégué Tite, et j'ai envoyé un des frères avec lui. Tite a-t-il retiré du profit de vous ? N'avons-nous pas marché dans le même esprit, sur les mêmes traces ?
12 : 19
Pensez-vous que nous voulions de nouveau nous justifier ? Nous parlons devant Dieu en Christ ; et tout cela, bien-aimés, pour votre édification.
12 : 20
Car je crains qu'à mon arrivée je ne vous trouve pas tels que je voudrais, et que vous ne me trouviez pas tel que vous voudriez, et qu'il n'y ait des contestations, des jalousies, des animosités, des dissensions, des médisances, des rapports, de l'orgueil et des troubles ;
12 : 21
Et qu'en retournant chez vous, mon Dieu ne m'humilie, et que je n'aie à pleurer sur plusieurs de ceux qui ont péché précédemment, et qui ne se sont point repentis de l'impureté, de la fornication et des impudicités qu'ils ont commises.
Samedi 22/05/10 :
MARC :
5 : 1
Ils arrivèrent de l'autre côté de la mer, dans la contrée des Gadaréniens.
5 : 2
Et aussitôt que Jésus fut descendu de la barque, un homme, possédé d'un esprit immonde, sortit des sépulcres et vint au-devant de lui.
5 : 3
Il faisait sa demeure dans les sépulcres, et personne ne pouvait le tenir lié, pas même avec des chaînes;
5 : 4
Car souvent, ayant eu les fers aux pieds, et ayant été lié de chaînes, il avait rompu les chaînes et brisé les fers ; et personne ne le pouvait dompter.
5 : 5
Et il demeurait continuellement, nuit et jour, sur les montagnes et dans les sépulcres, criant et se meurtrissant avec des pierres.
5 : 6
Quand il eut vu Jésus de loin, il accourut et se prosterna devant lui,
5 : 7
Et il dit, criant à haute voix : Qu'y a-t-il entre toi et moi, Jésus, Fils du Dieu très-haut ? Je te conjure par le nom de Dieu de ne point me tourmenter.
5 : 8
Car Jésus lui disait : Esprit immonde, sors de cet homme.
5 : 9
Et Jésus lui demanda : Comment t'appelles-tu ? Et il répondit : Je m'appelle Légion ; car nous sommes plusieurs.
5 : 10
Et il le priait instamment de ne pas les envoyer hors de cette contrée.
5 : 11
Or, il y avait là, vers les montagnes, un grand troupeau de pourceaux qui paissait.
5 : 12
Et tous les démons le priaient en disant : Envoie-nous dans ces pourceaux, afin que nous y entrions. Et aussitôt Jésus le leur permit.
5 : 13
Alors ces esprits immondes étant sortis, entrèrent dans les pourceaux, et le troupeau se précipita avec impétuosité dans la mer, et ils se noyèrent dans la mer; or il y en avait environ deux mille.
5 : 14
Et ceux qui paissaient les pourceaux s'enfuirent, et en portèrent la nouvelle dans la ville et par la campagne.
5 : 15
Alors le peuple sortit pour voir ce qui était arrivé ; et ils vinrent vers Jésus et virent le démoniaque, celui qui avait été possédé de la légion, assis, habillé et dans son bon sens ; et ils furent remplis de crainte.
5 : 16
Et ceux qui avaient vu cela, leur racontèrent ce qui était arrivé au démoniaque et aux pourceaux.
5 : 17
Alors ils se mirent à le prier de se retirer de leurs quartiers.
5 : 18
Et quand il fut entré dans la barque, celui qui avait été possédé le pria de lui permettre d'être avec lui.
5 : 19
Mais Jésus ne le lui permit pas, et il dit : Va-t'en dans ta maison vers tes parents, et raconte-leur les grandes choses que le Seigneur t'a faites, et comment il a eu pitié de toi.
5 : 20
Et il s'en alla, et se mit à publier dans la Décapole les grandes choses que Jésus lui avait faites ; et ils étaient tous dans l'admiration.
5 : 21
Jésus étant repassé dans la barque à l'autre bord, une grande foule de peuple s'assembla auprès de lui et il était près de la mer.
5 : 22
Et un des chefs de la synagogue, nommé Jaïrus, vint, et l'ayant vu, se jeta à ses pieds,
5 : 23
Et le pria instamment, disant : Ma petite fille est à l'extrémité ; viens lui imposer les mains, afin qu'elle soit guérie, et elle vivra.
5 : 24
Et Jésus s'en alla avec lui ; et il fut suivi d'une grande foule, qui le pressait.
5 : 25
Alors une femme malade d'une perte de sang, depuis douze ans,
5 : 26
Qui avait beaucoup souffert entre les mains de plusieurs médecins, et qui avait dépensé tout son bien sans en avoir reçu aucun soulagement, mais qui était plutôt allée en empirant,
5 : 27
Ayant entendu parler de Jésus, vint dans la foule par-derrière, et toucha son vêtement.
5 : 28
Car elle disait : Si je touche seulement ses vêtements, je serai guérie.
5 : 29
Et au même instant la perte de sang s'arrêta ; et elle sentit en son corps qu'elle était guérie de son mal.
5 : 30
Aussitôt Jésus, connaissant en lui-même la vertu qui était sortie de lui, se tourna dans la foule, en disant : Qui a touché mon vêtement ?
5 : 31
Et ses disciples lui dirent : Tu vois que la foule te presse et tu dis : Qui m'a touché ?
5 : 32
Et il regardait tout autour, pour découvrir celle qui avait fait cela.
5 : 33
Alors la femme, effrayée et tremblante, sachant ce qui avait été fait en sa personne, vint et se jeta à ses pieds, et lui dit toute la vérité.
5 : 34
Et Jésus lui dit : Ma fille, ta foi t'a guérie ; va-t'en en paix, et sois délivrée de ta maladie.
5 : 35
Comme il parlait encore, des gens du chef de la synagogue vinrent lui dire : Ta fille est morte ; ne donne pas davantage de peine au Maître.
5 : 36
Aussitôt que Jésus eut entendu cela, il dit au chef de la synagogue : Ne crains point, crois seulement.
5 : 37
Et il ne permit à personne de le suivre, sinon à Pierre, à Jacques et à Jean, frère de Jacques.
5 : 38
Étant arrivé à la maison du chef de la synagogue, il vit qu'on y faisait un grand bruit, et des gens qui pleuraient et qui jetaient de grands cris.
Et étant entré, il leur dit : Pourquoi faites-vous ce bruit, et pourquoi pleurez-vous ? L'enfant n'est pas morte, mais elle dort.
Et ils se moquaient de lui ; mais les ayant tous fait sortir, il prit le père et la mère de l'enfant, et ceux qui étaient avec lui, et il entra dans le lieu où elle était couchée.
Et l'ayant prise par la main, il lui dit : Talitha coumi ; c'est-à-dire : Petite fille, lève-toi, je te le dis.
Aussitôt la petite fille se leva et se mit à marcher, car elle était âgée de douze ans. Et ils en furent dans un grand ravissement.
Et il leur commanda fortement que personne ne le sût; et il dit qu'on donnât à manger à la petite fille.
Dimanche 23/05/10 :
HEBREUX :
7 : 1
Car c'est ce Melchisédec, roi de Salem, et sacrificateur du Dieu souverain, qui alla au-devant d'Abraham, lorsqu'il revenait de la défaite des rois, et qui le bénit ;
7 : 2
A qui aussi Abraham donna la dîme de tout le butin. D'abord, Melchisédec signifie roi de justice, de plus, il était roi de Salem, c'est-à-dire, roi de paix ;
7 : 3
Il a été sans père, sans mère, sans généalogie, n'ayant ni commencement de jours, ni fin de vie ; rendu semblable au Fils de Dieu, il demeure sacrificateur pour toujours.
7 : 4
Or considérez combien est grand celui à qui Abraham le patriarche donna la dîme du butin.
7 : 5
Et tandis que ceux d'entre les fils de Lévi, qui exercent la sacrificature, ont l'ordre, selon la loi, de lever la dîme sur le peuple, c'est-à-dire, sur leurs frères, qui cependant sont issus des reins d'Abraham,
7 : 6
Lui, qui n'était pas de la même famille qu'eux, il leva la dîme sur Abraham, et bénit celui qui avait les promesses.
7 : 7
Or, sans contredit, c'est l'inférieur qui est béni par le supérieur.
7 : 8
Et ici ce sont des hommes mortels qui prélèvent les dîmes ; mais là il est attesté que celui qui les reçoit, est vivant.
7 : 9
Et Lévi, qui prélève les dîmes, les a aussi payées, pour ainsi dire, par Abraham ;
7 : 10
Car il était encore dans les reins de son père, lorsque Melchisédec alla au-devant de lui.
7 : 11
Si donc la perfection s'était trouvée dans le sacerdoce lévitique (car c'est à celui-ci que se rapporte la loi donnée au peuple), qu'était-il encore besoin qu'il s'élevât un autre Sacrificateur, selon l'ordre de Melchisédec, et non selon l'ordre d'Aaron ?
7 : 12
Car le sacerdoce étant changé, il est nécessaire qu'il y ait aussi un changement de loi.
7 : 13
En effet, celui de qui ces choses sont dites, appartient à une autre tribu, dont aucun membre n'a servi à l'autel.
7 : 14
Car il est évident que notre Seigneur est issu de Juda, tribu de laquelle Moïse n'a rien dit concernant le sacerdoce.
7 : 15
Et cela devient encore plus manifeste, quand il s'élève un autre Sacrificateur selon la ressemblance de Melchisédec,
7 : 16
Qui a été institué, non selon la loi d'une ordonnance charnelle, mais selon la puissance d'une vie impérissable,
7 : 17
Car Il rend ce témoignage : Tu es Sacrificateur pour l'éternité, selon l'ordre de Melchisédec.
7 : 18
Ainsi, la première ordonnance a été abolie à cause de sa faiblesse et de son inutilité;
7 : 19
(Car la loi n'a rien amené à la perfection ;) mais une meilleure espérance, par laquelle nous nous approchons de Dieu, a été mise à sa place.
7 : 20
Et comme Jésus n'a pas été institué sans serment, (car les autres ont été faits sacrificateurs sans serment ;
7 : 21
Mais celui-ci l'a été avec serment, par celui qui lui a dit : Le Seigneur a juré, et il ne se repentira point ; tu es Sacrificateur pour l'éternité, selon l'ordre de Melchisédec,)
7 : 22
Jésus est ainsi devenu garant d'une alliance d'autant plus excellente.
7 : 23
Puis, quant aux sacrificateurs, il y en a eu un grand nombre, parce que la mort les empêchait de subsister toujours.
7 : 24
Mais lui, parce qu'il subsiste pour l'éternité, il possède un sacerdoce qui ne passe point.
7 : 25
C'est pourquoi aussi il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur.
7 : 26
Or, il nous fallait un tel souverain Sacrificateur, saint, innocent, sans souillure, séparé des pécheurs, et élevé au-dessus des cieux ;
7 : 27
Qui n'eût pas besoin, comme les souverains sacrificateurs, d'offrir tous les jours des sacrifices, premièrement pour ses propres péchés, puis pour ceux du peuple; car il a fait cela une fois, en s'offrant lui-même.
7 : 28
Car la loi institue souverains sacrificateurs des hommes soumis à l'infirmité ; mais la parole du serment qui a suivi la loi, institue le Fils, qui a été rendu parfait pour l'éternité.
Votre dévouée en Christ, Flo.
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